Coucou les lecteurs !
Comment allez-vous ?
Moi ?
Je suis un peu déçue aujourd’hui et je vous raconte pourquoi…
Hier je quitte tôt mon appartement au matin pour le boulot. Arrivée dans le métro, je vois un siège libre à côté d’un homme. Le type est bien assis, les jambes largement ouvertes, ne me laissant pas beaucoup d’espace pour m’asseoir. Je prends tout de même le siège et je le pousse avec mes genoux, mais il ne comprend rien à mon geste.
Alors, je lui lance : « C’est quoi ton problème ? Ta bite est grosse au point que tu ne peux pas fermer les jambes ? »
Il me répond affirmativement. Elle est gonflée ma bite et j’ai une grosse bite ! Ça te gène !
Je m’empresse de sortir lorsqu’on annonce ma gare avant de l’injurier un peu. Cependant, avec son attitude, ce mec a tout de même réussi à m’allumer, car je suis curieuse de savoir s’il dit vrai. Puis j’entends une voix qui m’appelle
« Madame, madame ! »
Je me retourne et je vois le taré à grosse bite qui me suit. Mais que me veut-il ?
« Vous ne voulez pas la voir ? » me demande-t-il…
Mais voir quoi ? Évidemment, le mec me parle de son sexe. Et qui n’aime pas débuter une journée par un orgasme ? Je lui propose de trouver un petit coin tranquille pour qu’il puisse me prouver la grandeur de son pénis.
Nous entrons dans le hall d’un bâtiment abandonné. Il me dit que je l’excite un max et qu’il désirerait au plus haut point me prendre par-derrière. Je fous en l’air toutes mes promesses de rester sobre sexuellement et je lui demande de se défroquer pour me déballer son zob.
Je ne vous dis pas, le mec me sort une petite bite toute poilue.
Je me répète que c’est souvent dans les petits pots que l’on retrouve les meilleurs onguents. Alors, il sort un préservatif et il me demande de lui enfiler, ce que je fais illico curieuse de voir ses performances.
J’enlève ma petite culotte, laissant ma chatte libre sous ma jupe. Je me penche et j’ouvre bien les cuisses. Il frotte sa bite à l’entrée de mon vagin et sur mon clito, ce qui fait mouiller ma chatte rapidement.
Je suis prête pour la pénétration, malgré cela, lui ne fait que glisser son sexe sur mes parties génitales en me disant : « Tu aimes ma grosse bite ? Elle va te faire jouir… »
J’ai envie de rire tellement je trouve ridicule cet homme qui se prend pour un Dieu du sexe. Finalement, je réussis à prendre son pénis entre mes doigts pour le diriger dans ma chatte. Il y entre facilement, car j’ai les cuisses couvertes de sécrétion vaginale tellement il a glissé son sexe sur mon clito. Je me penche encore plus, cependant l’homme entre complètement en moi, une, deux, trois fois. Il s’arrête. Je sens les convulsions dans son corps qui m’indiquent qu’il a déjà rempli le condom de sa semence.
N’empêche que je l’ai bien cherché, Monsieur P’tite bite ne c’est pas dégonflé et il a réussi à tirer un coup au petit matin…